[RPG] Chasseur à l'action [Libre] [terminé]

Je regardais d'assez loin, tout en marchant, la prochaine personne que j'avais à tuer.
Juste un homme d'un âge assez avancé qui regardait sa maison.
Il était seul, rejeté de tous, j'avais accepté cete mission je n'avais rien contre lui, et pourtant en devenant ma mission, il était devenu ma cible, dégainant mon épée enchantée ,je fis le tour du batiment puis ,me plaquant contre le mur au moindre petit bruit.
Quand j'avais presque fait le tour je vis alors des hommes armés jusqu'aux dents.
Ils étaient cinq, sans compter la cible.
Quelqu'un avait vendue la mèche ,je devais alors les combattre tous les six.
Je tenais maintenant mon arme mortelle à deux mains.
Il s'était passé la même chose cinq fois d'affiler ,ce n'était pas normal qu'il y ai autant d'hommes sur chacune de mes interventions, qui me trahissais.
Je m'aprettait à charger, je sortis des lames métalliques de mes mains, me concentrant, réfléchissant aux actions possibles.
Epée au point , je chargeais, mes lames se plantèrent dans le dos de deux militaires, je m'efforçais de ne pas trop les amocher, mais eux n'auront aucun scrupule à m'en faire baver.
La cible était rentrée chez lui et les autres tirèrent dans tous les sens, ils ne s'attendaient pas à ce que je sois aussi agille.
L'un d'eux fit:
-Feu, feu, tuez le sinon il va nous mettre en pièces, grouillez vous.
j'eus alors une idée, je battis en retraite faisant mine de faire le tour du batiment.
Les murs étaient solides mais le toit ne l'était pas. Je gravis sans difficultés celui-ci puis enfonçant mon épée je fis un trou de ma taille.
Les gardes tiraient toujours dehors me croyant invisible.
Je n'avais plus qu'à exterminer la cible.

Invité

Bon, j'aimerais que ce que je cherche apparaisse...Je cherche un village, pour demander mon chemin. Je sais où je suis, mais pas où je dois aller. Je fais fort, hein ?

Tiens, y a du bruit par mà. Sûrement le petit village. Je m'approche. Il parait désert. Enfin, il l'est.

Feu Feu ! Tuez le sinon il va nous mettre en pièces ! Grouillez-vous !

Tiens, quelqu'un attaque quelqu'un, je me demande qui c'a peut bien être. J'ai toujours cru que ce village était tranquille...

Je m'approche, et je vois 3 militaires. Eux aussi me voient, et je pense qu'ils m'ont pris pour leur cible, et ils se sont mis à m'attaquer.

C'est lui ! Il est là, vite, tuez-le !

Je me met dos à un mur, et ils s'approchent. Je ne sais pas si je vais tous pouvoir les battre...

Je commence à courir, et balance un éclair sur l'un d'eux, qui grille maintenant sur place. Le deuxième, je lui balance du feu, sauf qu'il n'a touché que son arme, mais cela l'a rendu inutilisable. Comment vais-je faire pour les tuer ? Je n'ai jamais aimé tué, mais c'est soit eux, soit moi...

Je décapitais la cible quand j'entendis l'un des militaire crier de douleur.
Je m'intérogeais repassant par le toit je vis alors un homme qui tira une boule de feu sur l'un des militaire mettant son arme hors combat.
Je sautais alors sans bruits derrière les deux survivants, sortis des lames de mes mains et les enfonçant dans le dos des deux militaires qui n'eurent pas le temps de crier de douleur tellement leur mort fut rapide.

J'étais couvers de sang je m'essuyait la tête et lui dis:
- Cet affrontement à du réveiller les grand dormeur de ce petit village, suis moi.
Sans attendre sa réponse je le pris par la taille et revenais dans la maison.
Je continuais alors:
- Est ce que ça va? j'espère ne pas t'avoir trop bousculer en te prenant aussi vite.
Moi c'est Pérédas, et toi qui est tu?
Je regardais le cadavre de ma cible près de son lit. J'avais accomplis ma missions sans problème et nous étions barricader dans la maison d'un mort manquerais plus qu'il aie une fobie du sang.

Invité

Bon, je suis là, en face de deux militaires qu veulent ma mort. Bizarrement, je ne suis pas effrayé. Tiens ? Celui dont l'arme fonctionne ne tire plus. Je commence à me lever, et voit un homme qui vient de tuer les deux militaires, très silencieusement. Il se met à courir, et s'arrète devant moi, puis me prit par la taille en me disant deux trois mots au passage, sous entendant qu'il fallait se barrer.
Il m'emmena dans une maison avec pour compagnie un cadavre, décapité, baignant dans son propre sang. Heureusement que je ne suis pas un phobique du sang.
Celui qui se tient devant s'appelle Pérédas, mais bon, je ne voit pas en quoi ca peut me servir. Il me demande aussi si je vais bien. Bon, comme je ne suis pas évanoui, je pense bien que oui.

Salut, moi, c'est Danaliet. Je ne vais pas te dire mon nom, tu ne le retiendrais pas. Et je pense que comme je ne suis pas dans les vapes, on peut dire que je vais bien. Au fait, je n'ai jamais vu quelqu'un courir aussi vite tout en portant une autre personne. Et puis, je pense que tu as vu que j'avais grillé un militaire, et fondu l'arme d'un autre. Je vais te le dire tout de suite, pour éviter les surprises : je maitrise le feu et l'électricité. Et toi ? Tu peux me dire ce que sont tes attributs spéciaux ? Si tu en as, bien sûr.

Je le dévisageais pas du tout étonné, mais je préférais faire comme même attention à lui.
-Puisque tu m'as dit les tiens je vais te dire les miens franchement.
J'hésitais comme même à tout lui dire un étranger, biensûr je savais son nom et ses attributs bizaroïde, quoique moin bizare que les miens. Je pensais d'abord à lui mentir mais je repris ensuite.
- Comme tu l'as sûrement remarqué je cours très vite...
Une nouvelle hésitation de ma pars, et puis mince il m'avais bien dit ce qu'il était à moi maintenant.
- Bon en gros je suis un O.G.M.

Je le dévisageais, quelqu'un frappa à la porte, puisdeux personne parlèrent entre eux, enfin ils commencèrent à essayer de ladéfoncer. Le bruits de nos respiration et des coups répéter sur l'entrée de la maison dominait tout autre lent et régulier comme des battement de coeur.
Je repris le jeune inconnu par la taille et repartit de plus belle dehors.

Un attroupement de gens s'était formés autour des victime et plusieurs hommes essayaient de briser la porte ils y arriveraient bien assez tôt.

- Ne gigote pas et ne fais aucun bruit. Dis je à mon pensionnaire
je l'emmenais à une vitesse folle dans un arbre peu loin de l'assassinat que j'avais commis quelque minutes auparavants.

Invité

Bon, il peut pas se dépécher de répondre ?! J'en ai marre d'attendre moi ! J'ai l'impression que je patiente depuis des heures, ce qui est peut être le cas. Ah, il se décide enfin. Il me dit qu'il est un O.G.M, mais c'est quoi ces trucs là ? Ca existe ? Faut croire que oui.
Tiens, les villageois nous ont retrouvés, ils essaient d'enfoncer la porte. Pérédas me reprend (je ne suis pas un gamin, je peux très bien marcher tout seul !) et on atterrit dans un arbre. Mais j'en ai marre, moi, de ces villageois à la *** !

***Période de folie***

Prenant Pérédas au dépourvu, je saute de l'arbre, en me dirigeant vers la maison. Et j'entre.

Salut la compagnie ! Et merci de votre visite surtout !

Je charge mon bras d'électricité que j'envoi vers les villageois. Je lui ai fait prendre la forme d'une vague, et elle a touché tout le monde. Ils sont tous en train de griller, toujours debout. Je sors, et envoi une boule de feu pour cramer la maison. Et ca marche. Toutes les maisons sont en bois, alors...J'envoi d'autre boules de feu pour cramer les maisons voisines.

Allez, régalez vous les chères flammes !

Je vis l'autre mec bizare descendre de l'arbre, et il entra dans la maison.
J'entendis alors des cris de désespoir, puis Danaliet s'avança et se mis à tout griller.
Je me tins la tête.
- Manquait plus que ça, un bargeau qui massacre tout le monde, une double personnalité. Murmurais je entre mes dents
Bon il faut peut être que j'empêche ce malade de raser tout le village me dis je.
- Dommage pour lui je suis en pleine forme.
Bon on sort le grand jeu ça n'a pas l'air d'être un novice.

J'enlevais vite fait mon haut puis sortit des ailes de métal, enfin je descendit.
-Eh! Gros malade attaque toi à quelqu'un de ta taille.
Avant d'attendre ça simple réponse je chargeais, je lui mis un bon coup de pied plein de pique métalique dans le ventre un coup d'aile dans le bras droit puis battais en retraite.
- Ni ton feu ni ton électricité ne me fait du mal.
La seule faiblesse qu'il pourrais exploiter de moi c'est la fatigue qui serais du à mes enchainement.
Je réfléchis deux seconde par contre si il m'attaque avec son feu je vais me retrouver tout nu!!
Ce n'est vraiment pas du jeu et ma pudeur alors. Là je faisais moin le malin.

Je sortis deux lames de mes bras et l'attaquais de derrièrre m'appuyant sur son bras droit et lui mettant un bon petit coup bien placé. je venais de me bruler la main.
Le métal ça chauffe mais le mien ne fond pas, mais il peut me brûler.
BOUHOU ( la je pleure dans mon esprit) je me croyais invulnérable bon je reprend.

Je n'envisageais pas la défaite. Je pouvais le tuer si je me collais à lui et sortais des lames de partout, mais je n'étais pas friand des brulures, je voulais garder mes vêtement et ne pas m'endormir a cause de la fatigue pour les flics vienne me choper pendant mon sommeil.

Je me trouvais devant un adversaire qui n'était pas novice avec une quasi immunité contre ces attaques, je ris.
Pars si tu ne veux pas te faire démonter.
Je restais sur mes gardes, je n'avais pas encore sortit le grand jeu.

Invité

Raaah, ca fait du bien du tuer. Tiens ? Pérédas me tape. Pauvre idiot, tu est fait du métal, tu n'est rien pour moi !

Amuse moi avant que je ne te tu !

Je commence à foncer, met les deux bras en avant, et sort une langue de flammes qui le touche de plein fouet. Je saute par dessus lui, et balance un éclair sur son aile métallique, qui fait circuler tout le courant. 2200 Vlts en pleine poire, il va mourir.
Je me remet derrière lui, et lance une attaque combiné de foudre et feu. Une grande langue de flammes entouré d'électricité que je maintiens. Je dégage aussi une grande chaleur pour pas qu'il m'approche. Je n'aurais pas du faire si vite, il va mourir. Bref, il ne m'a pas amusé. Dommage. Mais il est peut être encore vivant.

Le village aux alentours est détruit. Il reste quelques maisons. Je dégage du feu en cercle, qui a tôt fait de les détruire.

Est il encore vivant ? J'arrete mon attaque, mais il n'y a pas de corps. Soit il est vivant et il a été obligé d'être touché, soit il est mort. Car j'ai senti mon attaque le toucher.

Minable...Tu n'as pas été un grand défi.

Et bas voilà je l'avais prévu je me retrouve tout nu super l'autre m'as attaqué j'ai eu chaud au fesse il m'a fait mal cet ignorant, putain je me retrouve a poil dans un village enflamé avec un malade mental à double personnalité. BOUHOU ( là je pleure encore intérieurement. )

Il va le pailler cet ignorant mais si je le chope et que je fais mon truc on va me prendre pour un pédophile. BOUHOU ( vous deviner ce que je fais oui je pleure encore intérieurement)

J'aurais du lui régler son compte au début et me retrouver tout nu maintenant c'est pareil sauf qu'il n'est pas mort.
Eh au fait il aime bien la chaleur? là mon gars tu vas être servit.
Je ris.
-Pas mal du tout bon maintenant c'est à moi.
Je me recouvrait de métal et chargeais lui chopant la main je fis monter mon métal sur tout son corp peu à peu il commençai déjà à se débattre avec son feu minable il se retrouva bientôt recouvert.

- Je sais que tu m'entend, je t'explique ce qui va t'arriver ton minable petifeu ne servira qu'à accélerer le processus et l'électriciter te faire encore plus mal mais je vais faire une chose que tu rique de ne pas aimer.
Je sortis mon épée enchantée et l'enfonça dans le ventre de Danaliet.
- Tu te calme maintenant?
Quant je sortit mon épée une flamme mélée à de l'électricité m'atteignit mais je m'it étais attendu.
j'attendis une minute et des brouette le métal avais refroidit, il n'attaquait plus le métal.
je reprit mon épée puis donna un bon coup de pommeau sur la tête du gros fou.
il était assomé j'entrais dans une maison et en ressortait avec un pantalon et un calçon j'enfilais le tout, vrifiais que les battement de l'homme restaient régulier ils l'étaient je l'attachait à un arbre puis prit un sceau d'eaule renversant sur l'idiots qui se trouvais devant moi me reculant sur mes gardes je saignais de partout, la fatigue.
- T'as finis de faire joujou avec la mort ?

Invité

Tiens ? Il m' pris par surprise cet en*****. Il va le payer. Il commence à m'enprisonner dans du métal, il croit avoir à faire à qui ? Aaaaaaaargh, il viens de me planter sa lame dans mon ventre. Je riposte, mais ca ne fait rien. Damned ! Je vais quand même sortir de là en moins de deux. Il m'a attaché à un arbre et recouvert de métal. Mais il a oublié les pieds cet imbécile heureux. Je commence à faire sortir du feu très concentré en deux rayons par mes pieds, que je dirige ensuite vers l'arbre. Il prend feu immédiatement, je dirige maintenant mes rayons vers le sol, qu'ils percent immédiatement. Je commence à m'enfoncer dans la terre, il fait de plus en plus chaud, je me rapproche d'une poche magmatique. Ca y est ! je l'ai trouvé ! Je commence à l'ouvrir et...BOUM ! Les gazs me font sortir de sous terre et en même temps, me débarassent de ce fichu métal. Je suis handicapé par ma blessure, il ne faut pas que je me fasse attrapper.

Eh ! Minable ! Je suis encore là ! Ton métal ne me fera rien, et je te dit aussi que je suis insensible au feu, donc à la chaleur, et à l'électricité.

Je charge mon bras de feu, fonce, et lui balance dessus. Comme je m'y attendais, il para le coup avec son épée, une main sur la garde, l'autre sur la lame. Sauf que j'avais caché à l'intérieur de mon feu un fin jet d'électricité, invisible à l'oeil nu. Le métal conducteur de courant, je vous laisse deviner. Il tomba par terre, assomer.

D'habitude, je ne laisse pas la vie sauve aux personnes que je rencontre, pour toi, je vais faire une exception. Oh, et à l'avenir, ne me cherche plus.

Je commence à partir. Il va faire quoi, me laisser partir, ou continuer le combat ? J'aimerais bien la solution deux...

Quand je reçu l'électricité je tombais raide par terre, mes paupière se refermaient, mon souffle se calmais. Je compris que j'allais m'evanouir si je ne faisais rien.
Il va me tuer si je m'évanoui, il ne dois pas me tuer, je ne peux pas mourir maintenant.
Je me relevais, "il ne faut jamais abandonnée"
puis je me mis à crier.
- Narguiel est pour moi.

Je m'étais remis à mon grand soulagement de mon étourdissement grâce à ma résistance mentale.
- Toi le gros con enflammée, tu vas connaître une de mes technique spéciale, qui ne te tuera malheureusement pas.
Je chargeais, comme prévu il retentat le coup de l'électricité, je fit semblant de tomber il se retourna pour partir c'est alors que je pris une chaine je l'enroulais autour de lui la lachais bientot puis luis planta une seringue hypodermiques dans le cou.
Ces seringues je les réservais pour endormir des animaux enrager comme des éléphants ou autres bestiole qui pouvais se montrer féroce.

- Alors l'animal, tu vois comme c'est horrible de succomber au sommeil quand tu dois te battre.
Je fis peu à peu grimper le métalsur lui en plaçant deux autres seringues. il essaya de les éléctrocuter de les enflammées mais ça de marchais pas.
je pris de ma main libre la droite mon épée et donnais u bon coup de pommeau dans la tempe, puis le soulevant le recouvrant de métal de la tête au pied sans oublier tout les petis endroit d'où il pourrait m'attaquerje resserais la prise du métal laissantexprès un petit trou vers l'extérieur pour qu'il puisse respirer, je posais la prison à terre, puis l'accrochait avec deux langues de métal à la terre puis aux dernières maisons restante.

- Je te laisse la vie pour cette fois mais ne vien plus te mettre dans mes pattes.
Même si j'aurais voulu le tuer je ne l'aurais pas fait en raison de son hacharne ment au combat.

Je partit dans la forêt pour rejoindre la ville, si il était conscient ou non, je n'en avait plus rien à faire, les flics arrivais lui poseraient quelques questions, puis le laisserais partir, ils auront sûrement prétexter une canicule, ou un autre truc bidon pour rassurer tout le monde. adieu petit malade enflamée on se reverra peu être en tout cas je ne l'èspère pas.