[Fiche] Nué. <3 [Terminé]

Invité

Nom: Kyuu'seï.

Prénom: Nué.

Age: 17 ans (Depuis un moment).

Fille/Garçon: Garçon.

Métier: Mmh...

Particularité : Hormis le fait qu'il ait les yeux et les cheveux d'une couleur vraiment peu commune !? Hum...Nué porte une cicatrice sur son avant bras gauche, 'Memento Mori' ou littéralement, 'Souviens toi que tu vas mourir.' la marque à cicatrisé et brille légèrement désormais, d'une couleur nacrée. C'est une sorte 'D'exorciste' ou de chasseur, il chasse et dévore les âmes en peine, Fantômes et Démons.

Description physique : Plutôt mince, son visage se pare de fins cheveux cendrés, très clairs entre le gris et le blanc. Reflétant la lumière du soleil. Ses yeux sont étranges, les iris sont blancs, voilés, cernés d'un contour et d'une pupille noire. Ces yeux clairs le gênent lorsqu'il y a beaucoup de soleil; il y est très sensible. Ils sont soulignés de légères cernes, qui n'enlèvent cependant rien à la beauté de ce visage envoûteur, avant de mourir, ses yeux étaient vert émeraude. Sa peau est claire, blanche et glacée, contrastant avec ses mèches mi longues, son visage inspire la tristesse et la peur.

Description morale : Difficile de décrire ce caractère étrange et si torturé !! Impassible, étrange, son cœur de glace semble figé, dénué de sentiments. Loin d'être amical, les gens préfèrent passez leurs chemin plutôt que de devoir lui adresser la parole. D'un tempérament calme, son regard triste et glacial, vide et, parfois doublé d'un amusement enfantin est assez flippant. Il semble désintéressé de tout. Son visage reste cependant empreint de tristesse mais même dénué de joie il est loin d'être privé de beauté. Replié sur son cœur de glace, souffrant en silence, il déteste être contrarié et à une tendance assez effrayante à dévorer l'âme de ceux qui le 'gène'. Pour lui, l'humanité entière est inutile, il ressent un certain dégoût pour les relations humaines.

Histoire :

~Hollow.~

L'histoire commence dans un petit village désert qu'on appelait 'Hollow'. Il ne faisait pas assez froid pour qu'il y neige, et pas assez chaud pour qu'il y ait du monde. Il était donc un peu reculé, et pas très grand.
Le petit Nué était né un 31 Octobre. Son père était alcoolique et passait la plupart de son temps à frapper sa femme, devant les yeux de leurs petit garçon qui ramassait parfois quelques coups, histoire de n'oublier personne.
Mr et Mme Suechi (c'est leurs nom véritable.) s'était rencontrés quelques années plus tôt et formaient jusque là le parfait amour. Cependant Mr Suechi découvrit une forte dépendance à l'alcool et ne tarda pas à sombrer dans un ravin sans fond, buvant bouteilles sur bouteilles et devenant peu à peu violent avec sa femme. La pauvre femme enceinte de déjà huit mois n'était pas assez riche pour pouvoir le laisser en plan, et fuir avec son gosse. Elle était donc contrainte de vivre sous la dépendance de son mari qui gagnait l'argent familial.
Un mois plus tard, le gamin arriva, petit garçon au visage étrangement beau qu'on appela 'Nué'. Il grandit jusqu'à ses cinq ans sans trop d'histoire, passant la plupart de ses nuits sans rêves à regarder son père s'énerver sur sa mère par le trou de la serrure de la porte du salon, en pyjama, son nounours à la main. Pas très bavard, le gosse ne parlait pas beaucoup, se contentait
de fixer l'extérieur devant la fenêtre de sa chambre d'enfant au papier-peint vert menthe et aux motifs jaune citron. Il dessinait souvent des gribouillis, mais il sembla que tous les crayons de couleurs qu'il utilisait finissaient par se teindre de noir, tellement sa tristesse transparaissait derrière ses gestes enfantins. Mensonge ou pas, c'est ce qu'on racontait.
La veille de son sixième anniversaire, sa mère, plongée dans une profonde dépression, se suicida devant leur maison. Elle se pendit à un de ces arbres morts qui jonchaient leur jardin, celui-là même qui se trouvait juste en face de la fenêtre de son fils. Le mari complètement saoul, ne réalisa même pas l'incident qui fut découvert par une voisine, qui remarqua le comportement étrange du petit Nué, le nez collé à sa fenêtre qui fixait le corps de sa mère depuis quelques heures.

L'assistante sociale qui débarqua le lendemain matin ne mit pas longtemps à trouver la fameuse maison dont le fait divers avait été l'information la plus extraordinaire qu'avait connu le petit village pommé, dont le maire, tout heureux qu'il était, avait même fait un discours pour la télé (imaginez, la plupart des personnes normales ignoraient l'existence de ce village...) souvent rappelé par son assistante car il s'éloignait du sujet et partait venter les mérites de son village. Et Nué fêta donc son anniversaire dans
la coccinelle rouge vif de l'assistante sociale, en route pour l'orphelinat St Wood Shton qui se trouvait vers le sud de l'Irlande.
On raconte que le garçon fixa jusqu'au départ l'arbre où sa mère était décédée, et que, pour toute réponse aux interrogations des agents de police (qui étaient venu embarquer son père) sur ce qu'il regardait, il murmurait simplement 'Maman".
Disons que c'est à partir de là qu'il eut un comportement étrange, voir flippant.

Son arrivée fit beaucoup de bruits, c'était le fameux petit Suechi, fils d'une jeune japonaise et d'un anglais, dont tout le monde maintenant connaissait plus ou moins vaguement l'histoire. La plupart des gamins orphelins ne voulaient pas trop jouer avec lui, sa beauté enivrante était source de jalousie et il passa la plupart de son temps seul. Les adoptions se faisaient rares, et il était donc presque impossible qu'un enfant ait droit à une famille. Condamné a vivre enfermé, coupé du monde, privé d'une enfance normale auquel il n'aurait sûrement jamais droit.
Ainsi jusqu'à ce 24 Septembre là, sa vie était toute tracée et la routine s'était imposée à lui comme un moyen d'échapper au désespoir. Nué était alors âgé de quatorze ans.

~Nué. Arrivée à l'Orphelinat St Wood Shton.~

L'endroit n'était guère acceuillant, les arbres morts prolongeaient leurs ombres effrayantes sur les murs du bâtiment de pierres grises, une allée de gravier blanc menait du haut portail de fer forgé noir aux motifs gothiques, à la porte d'entrée en bois d'ébène. Divers jeux pour enfants reposaient à l'écart dans le jardin, désolés, inutiles, ils semblaient emprunt d'une infinie tristesse et d'un désespoir qui, d'un simple regard,vous faisait penser que c'était bien le dernier endroit où vous désiriez séjourner, même quelques heures. Je n'étais vraiment pas à l'aise, et, prenant machinalement ma valise, je m'avançais à contre-cœur vers le portail, regardant une dernière fois la coccinelle rouge vif qui m'avait accompagnée redémarrer dans un bruit doux, et repartir loin d'ici, là où j'aurais voulu fuir.

Un vieil homme vint m'ouvrir le portail et m'emmena à l'intérieur. Il se mit à pleuvoir juste après que je sois entré dans le hall, où attendait un petit salon de velours vert foncé, agréablement réchauffé par une cheminée ancienne.
Après avoir griffonné mon nom, mon age et ma date de naissance sur une sorte de registre, le concierge m'aida à porter ma valise et me pria de le suivre à travers le dédale de couloir et d'escalier qu'offrait le grand orphelinat, me laissant finalement dans ma future chambre. Il repartit aussitôt avant que je n'ai pu lui poser une de mes nombreuses questions, me laissant seul. La chambre était aussi froide et peu accueillante que tout le reste, malgré l'aménagement enfantin qu'elle offrait, je ne m'y sentit pas du tout à l'aise. Alors que je soupirais, jetant ma valise sur mon lit, je remarquais un autre garçon, assis devant le fenêtre. Il tourna sa tête vers moi, et je le vis m'adresser un petit signe de la main. Détournant le regard, je passais une main dans mes cheveux, lâchant simplement un 'Bonjour.' peu amical.

~Nué, Cimetière St Dolling.~

Les vingt-et-un enfants qui participaient à la 'sortie' du 24 Septembre s'étaient tous précipités dans le magasin de bonbons de la ville. Le vent soufflait étrangement ce jour là, et il me sembla qu'il hurlait des choses et rapportait des brides de paroles étranges dont je ne saisissais pas le sens. Il faisait un peu froid, et les arbres morts pointaient leurs branches noires vers le ciel d'une manière étrange, se balançant au rythme irrégulier des rafales de vent glacé.
Le bus était rapidement repartit, et je me tenais toujours là, sur le trottoir, entendant grâce au vent les cris des autres orphelins. Après un soupir, je longeais lentement les barreaux de fer forgé noir à la peinture un peu rouillée, et je ne mis pas longtemps à atteindre la fin du trottoir, ou l'entrée du monument. Je n'avais pas tellement envie d'être avec les autres, alors cet endroit m'attira au premier regard.
C'était une église de style ancien, aux nombreux vitraux, contant la scène du Jugement Dernier, les couleurs étaient ternes et salies, elles auraient eu bien besoin d'une rénovation. L'église était constituée de pierres sur lesquelles poussaient maintenant du lichen, le portail était défoncé, et en quelques pas sur le gravier humide, je fus à l'intérieur.
Je parcourais la Nef d'un pas rapide, passant à droite de l'autel. Les bancs des fidèles avaient été enlevés, et de nombreuses pierres manquaient au mur, ce qui faisait que le vent s'engouffrait en sifflant dans la grande pièce au plafond vouté. L'endroit devait être magnifique autrefois. Je me baissais pour passer dans un trou formé par l'absence de pierre, me retrouvant dehors. Je me trouvais au beau milieu d'un cimetière où l'atmosphère n'était pas franchement accueillante. Je me tenais là, debout, le vent ébouriffa mes cheveux clairs. Soudain, mon regard pâle se posa sur l'une des sinistres pierres tombales, sur laquelle était assise une jeune fille.

Sa peau était blanche, presque brillante, ses cheveux flottaient dans le vent, ses lèvres étaient rouge sang, et ses yeux étaient blancs, révulsés, sans pupille. Ses larmes de sang strillaient ses joues et sa peau semblait craquelée par endroit, comme une poupée de porcelaine cassée. Elle semblait chanter, en latin. Sa voix sonnait comme une caresse dans le vent, carillon chantant. Je la fixait quand un mouvement de la fille me glaça le sang. Sa main droite, je ne l'avais pas remarqué avant, était dénuée de peau, juste un squelette qui partait de la main jusqu'au coude, blanc. Elle regardait le ciel en chantant. Et puis, elle se tut. Le vent soufflait encore lorsque elle me regarda. Je me souviens qu'elle ma attrapée le bras et m'a sourit tristement, en enfonçant les os de ses doigts squelettiques dans la chair de mon avant-bras, faisant perler le sang. Elle était triste et lorsque elle m'a murmurée son nom, j'aurais juré que c'était le vent qu'il l'avait soufflé. Et puis, elle disparut, dans un clignement de paupière.
Un frissonnement glacé me parcourut lorsque je vis, gravé sur la pierre tombale, le nom qu'elle venait de me chuchoter, et écris, avec mon propre sang, 'Memento mori' en lettre écarlate sur mon avant bras endolori par la douleur.
Je crois que c'est à ce moment là que je me suis mis à courir. Je fis demi-tour, la tête me tournais, je ne comprenais rien. Je courrais à travers l'église et soudain, je me stoppais. Une mélodie résonnait dans l'église, une de ces horrible mélodie de boîte à musique. Horrible parce qu'elles vous rappelaient immanquablement un film d'horreur. La mélodie était douce et saccadée mais me donna des frissons. Elle ne s'était pas actionnée toute seule. Je me retournais. Le son provenais d'une petite porte entrouverte, qui servait autrefois aux prêtres, je m'approchais doucement.
J'étais horriblement mal à l'aise, mais j'avançais quand même, comme le font les futures victimes dans les séries à suspens. J'ouvris la porte et soupira. Une jeune fille se tenait là, assise devant une vielle coiffeuse, fixant dans ses mains une boîte à musique sur laquelle dansait une ballerine dont la robe de dentelle semblait déchirée par endroit.
L'objet était vieux et abîmé, mais le reflet de la jeune fille dans le miroir me fit frissonner. Elle était au détail près semblable à la fille du cimetière, sauf qu'elle avait encore de la peau sur son bras et qu'elle ne pleurait pas de larme de sang.
Elle ferma soudain la boîte, interrompant brusquement la mélodie, elle me regarda, affolée. Et puis, elle murmura au bout d'un moment :

''As-tu un foyer où rentrer !?''

''Non.''

''Personne où quelqu'un t'attende !?''

''Non.''

Elle me regarda avec de grand yeux. Et puis, elle détourna la tête, roulant entre ses doigts un camélia Blanc.

''Tu aimes les camélias !?''

''Non.''

Ignorant ma réponse encore négative, elle me regarda et demanda encore :

''Préfères-tu les camélias rouges ou blancs !?''

''Rouge."

Elle souria. Je n'avais jamais eu de goût particulier pour la conversation, ainsi se contenterais t-elle de mes courtes réponses.

''Oh, tu saignes !?''

Je ne bougeais pas. Mon sang écarlate coulait le long de mon bras meurtri, ça me faisait atrocement mal, mais la douleur s'était un peu endolorie.

''Je suis désolée, c'est ma sœur... elle n'arrive pas à accepter qu'elle est morte... C'était il y a un mois, elle a été kidnappée, et on l'a torturée... pour s'échapper, elle a du... elle a du s'arracher le bras pour s'enfuir de sa cage... je n'aurais pas été capable... de m'enfuir...''

Elle pleurait. Elle ressemblait beaucoup à sa sœur, et cette histoire était horrible. Elle tournait dans un geste nerveux le camélia entre ses doigts, le regard fixé sur la fleur.

''Toi aussi, tu as perdu beaucoup de sang. Dis, n'est tu pas attiré par la Mort !? Je suis sûre qu'elle viendra bientôt... Nous les Nightmare possédons le pouvoir de tuer...''

Elle attrapa soudain un des morceaux de miroir qui se trouvait sur le sol et le serra fort dans sa main. Un sang sombre, presque noir coula le long de ses doigts, et elle le fit doucement tomber sur le camélia qu'elle avait en main, le rendant d'une couleur rouge sombre. Elle me le tendit avec un sourire, tandis que sa main cicatrisait étrangement vite. Un frisson me parcourut le dos. J'étais en plein cauchemar.

"Maintenant, le camélia est rouge.''

Je pris la fleur et me retournais vers la sortie, le bus devait être repartit, mais il manquait une personne. Je me retournais vers la fille mais elle semblait m'avoir oublié, assise sur sa coiffeuse à chantonner.
Je sortis et me dépêchait de rejoindre l'arrêt de bus qui, à ma grande surprise, était toujours occupé par celui qui devait me ramener à l'Orphelinat.

Invité

~Nightmare.~

Il pleuvait. Le ciel était d'un noir d'encre et la Lune camouflée par les nuages. La pluie trempait les carreaux de la chambre et j'étais le seul à n'être pas endormi. Je me retournais pour la énième fois entre mes draps, mes yeux ouverts tentaient de percer l'obscurité, le bruit assourdissant du tonnerre en guise de berceuse. Et soudain, le sommeil m'enveloppa d'un voile noir, sombre et glacé et m'entraina vers un nouveau cauchemar.
Ce fut une succession de flash flous, diverses images défilaient, inlassablement, m'emmenant vers une suite illogique d'évènement étrange. La fille de cet après midi était là. Assise sur sa coiffeuse. Elle semblait chuchoter quelque chose en face de son miroir, les yeux plongés dans ceux de son reflet.

''... Tu ne rêveras pas. Tu tueras. Tu dévoreras. Tu exorciseras. Tu ne mangeras pas. Tu hanteras...''

Ainsi dans une suite d'action assez glauque, comme des commandements qu'elle se récitait à elle-même, histoire de ne pas les oublier. Elle avait une poupée sur ses genoux. Ses cheveux étaient noirs, et emmêlés, un nœud aux motifs écossais noir et blanc retenait une mèche de sa chevelure. Ses yeux étaient bleus clairs, mais rougit, comme si elle avait longuement pleuré, ses lèvres étaient blanches avec des sortes de taches rouge écarlates, contrastant avec sa peau de jouet blanc, elles étaient comme cousue avec un fil noir qui zébrai sa bouche d'une manière effrayante. Ses joues étaient poudrées de rose et sa peau semblait comme fissurée, telle de la porcelaine brisée, sur son cou et sur son visage, et de ces cassures coulait doucement des gouttes de sang. Elle faisait horriblement peur, mais son expression triste mettait mal à l'aise, cette poupée à elle seule dégageait une expression bizarre. La jeune fille sembla stopper sa récitation et regarda sa poupée qui, à ma grande surprise se mit à parler.

''Joue avec moi.''

Sa bouche n'articulait pas vraiment, elle s'ouvrait et se refermait comme un jouet, mais le son qui en sortait était enregistré. La jeune fille soupira.

''Doll, tais-toi...''

''Je suis le Démon ! Cours ou je vais te tuer.''

Là,quelque chose clochait. J'avais déjà vu des poupées semblables dans les magasins, le jeu du démon étant une variante du 'Chat' mais les poupées comptait juste et cherchaient les enfants, elle ne tuait pas. Soudain,la jeune fille serra la poupée contre elle et ferma les yeux.

''Nué, on se reverra, hein !? Détruit et hante, Tue et dévore, exorcise les Démons et rejoint moi dans la Mort.''

Je la vit s'approcher et je sentis son baiser sur mes lèvres, même endormit. Elle était venu Hanter mes rêves, j'en était sûr. La seconde d'après, j'étais de nouveau emporté par un flot d'images dénuées de sens.

~Death and resurrection.~

Nué se suicida dans la nuit du 24 au 25 Décembre. Trop tenté par une résurrection sous forme de 'Nigthmare' (edit : Cauchemar.), il s'est noyé dans le lac qui bordait l'Orphelinat. S'en suivit deux nuits d'atroces souffrances, dont les détails ne seraient guère intéressant. Pendant deux nuits, son corps tout entier sembla brûler, et enfin lorsqu'il reprit possession de son lui-même, il y eut quelques changements. D'abord, sa peau devint carrément pâle et froide. Et puis il ne ressentit plus le besoin de se nourrir ni de dormir. Juste le besoin de Hanter et de 'Dévorer' les Démons et les âmes errant dans le monde des Humains. Invisibles pour la plupart des gens. Il a désormais un plaisir effrayant de dévorer les âmes et Démons, les fantômes aussi... bien qu'ils soient moins délicieux.

Goûts particuliers: Il adore faire peur aux gens et boire du sang de Démon, il aime également les sucreries et préfère le jour à la nuit.
[D'autre choses viendront s'ajouter à la liste au fur et à mesure.]

Type d'habitation: Divers endroits isolés, parfois des hôtels.

Localisation dans City: Ça dépends des jours... et des nuits x3.

Code: Ok by Alex'

Que pensez-vous du graphisme ? <3.

Et bien voilà !!
Nué est dans la place ! x3

- Magnifique présentation, l'histoire est toujours aussi morbide ^^
- Lignes respectées, je laisse passer le physique ... =S
- Orthographe menée du bout des doigts, ça me va <3

Sur ce, tu es validé très cher !
Je te mets dans Démon, même si en principe tu es dans Zombie (m'enfin, on en a discuté sur MSN)
Je te souhaite un bon RP parmi nous, et j'espère que tu ne t'ennuieras pas !